Ils'agit de vertĂ©brĂ©s basaux possĂ©dant une chorde et des vertĂšbres primitives, mais pas de mĂąchoire (les lamproies sont donc agnathes). Ce Le morphea, sadique, semblait s’ĂȘtre entichĂ© » de Cody et prenait tout son temps pour jouer avec lui avant de l’assassiner. Bien que les cris de douleur de son alliĂ© lui donnait des frissons d’horreur, Natasha se rassurait en songeant que c’était lĂ  un gage que le soldat Ă©tait encore vivant, une bonne chose donc. Elle s’inquiĂ©tait d’avantage pour les deux autres hommes qu’elle n’entendait plus Ă©taient-ils morts ?La rouquine se tenait lĂ , prĂȘte Ă  faire feu sur l’ennemi dĂšs qu’Emeryan aurait mordu le monstre mais rien ne vint. Contre toute attente, les serlianes qui l’avaient protĂ©gĂ©e jusque-lĂ  s’enroulĂšrent autour de ses yeux et Natasha n’eut que le temps d’émettre un mais ! » de protestation avant qu’un bruit assourdissant ne raisonne et que les crĂ©atures qui la retenaient dans les airs ne la lĂąchent. Ce n’était que cinq mĂštres mais la distance Ă©tait suffisante pour qu’elle se brise un os en se rĂ©ceptionnant en bas, aussi poussa-t-elle un cri de surprise couplĂ© Ă  de la peur en tombant en chute libre. Par chance, les serlianes se ressaisirent et la rattrapĂšrent en vol tout en tremblant de peur. Ces crĂ©atures Ă©taient particuliĂšrement sensibles aux sons, quoi qui ait sautĂ© en bas, probablement une grenade, ça les avait Ă©normĂ©ment avait durĂ© quelques secondes mais c’était suffisant pour alerter le morphea qui s’était tournĂ© vers elle et qui avait tirĂ©. La rouquine retint son souffle et mit quelques instants Ă  comprendre qu’une serliane lui avait sauvĂ© la vie en faisant bouclier vivant, ce qui expliquait la nouvelle dĂ©gringolade jusqu’au sol. La kinĂ© ne s’attarda pas pour examiner la blessure de la serliane ni pour contempler cet Ă©trange tableau des serpents tout autour d’elle qui feulaient contre l’ennemi. Le morphea avait braquĂ© une arme Ă  feu dans sa direction et Natasha rĂ©agit par pur instinct de prĂ©servation en levant le zat qui s’était presque incrustĂ© dans sa main tant elle l’avait serrĂ© et en appuyant frĂ©nĂ©tiquement sur la gĂąchette pour tirer. Avait-elle Ă©tĂ© assez prĂ©cise ? Cela suffirait-il pour faire flancher le morphea et l’empĂȘcher de la plomber ?Alors que Kalinda attendait la rĂ©ponse de Karola Ă  propos de leur plan d'action, elle se retrouva avec une sorte de liane autour de la bouche. Ses yeux s'agrandirent sous l'effet de la surprise et elle porta aussitĂŽt ses mains Ă  la bouche pour enlever cette Ă©trange chose. La militaire lui dit alors qu'il s'agissait d'Emeryan, un alliĂ©. La serliane s'enleva doucement de son visage et Kalinda resta quelques secondes mĂ©dusĂ©e. Une plante qui semblait avoir la capacitĂ© de rĂ©flexion, c'Ă©tait encore une fois fascinant et surprenant. Il avait eu l'intelligence de lui mettre quelque chose sur la bouche pour l'empĂȘcher de crier de surprise. Cette mission aura au moins eu le mĂ©rite de lui faire dĂ©couvrir beaucoup de nouvelles choses. Et quand la serliane se mit Ă  parler, alors lĂ , Kalinda en resta bouche bĂ©e. Elles apprirent alors qu'il n'y avait qu'un MorphĂ©a dans la jungle et qu'il y avait une deuxiĂšme femme, Natasha, une alliĂ©e Ă©galement. Karola lui expliqua alors ses intentions et lui conseilla de se protĂ©ger les yeux et les oreilles. Lorsqu'elle lança la grenade, Kalinda suivit ses conseils, se boucha les oreilles et ferma les yeux. L'explosion ne tarda pas Ă  retentir. La jeune pĂ©gasienne espĂ©ra que le MorphĂ©a soit assez perturbĂ© pour qu'elles puissent tenter une attaque. Lorsqu'elle jeta un coup d'oeil Ă  la scĂšne, elle vit le MorphĂ©a commencer par tirer Ă  l'aveuglette puis tenter de s'en prendre Ă  une jeune femme, probablement celle dont parlait la serliane Emeryan quelques secondes plus tĂŽt. Sa victime prĂ©cĂ©dente, le jeune homme, n'Ă©tait plus lĂ , probablement enlevĂ© et mis en sĂ©curitĂ© par la serliane comme le lui avait demandĂ© Karola. Le MorphĂ©a leur tournait le dos, concentrĂ© sur la jeune femme rousse qui Ă©tait elle-mĂȘme entourĂ©e de serlianes menaçantes. C'Ă©tait le moment ou jamais d'agir. Quand Natasha eut fini ses tirs de Zat, Kalinda ne chercha pas Ă  savoir quels effets ils avaient eu sur le MorphĂ©a et elle se lança en avant, machette Ă  la main. En quelques pas, elle fut juste derriĂšre elle et prit son Ă©lan. Elle lui enfonça sa machette au niveau de l'Ă©paule et l'entailla suffisamment profondĂ©ment pour la laisser enfoncer. Elle se recula alors rapidement, attrapa la deuxiĂšme machette dans son dos et s'apprĂȘta Ă  l'atteindre une deuxiĂšme fois. La jeune femme espĂ©ra que, comme le prĂ©cĂ©dent MorphĂ©a, celui-ci ne pourrait rĂ©sister Ă  plusieurs attaques morphĂ©a Isia s’amuse toujours Ă  me malmener. Des fois, elle m’approche de l’eau et me retire avant que je ne me noie ou que les aligatroncs ne me mangent tout cru. Ce n’est dĂ©cidĂ©ment pas des galipettes agrĂ©ables. J’aurai bien aimĂ© en faire avec Isia, mais pas dans ces circonstances et surtout pas avec une crĂ©ature immonde. Je prĂ©fĂšre de loin la vĂ©ritable Isia et j’espĂšre qu’on rĂ©ussira Ă  la retrouver ainsi que les autres victimes. Pour l’instant, je dois essayer de me dĂ©faire de la crĂ©ature qui me qu’elle continue ses cercles sur le sol, des Ă©raflures parsĂšment mon visage. Ça brĂ»le et ça pique. J’ignore combien il y en a. Je dois sĂ»rement avoir du sang un peu partout sur le visage. Peut-ĂȘtre mĂȘme des hĂ©matomes si j’arrive Ă  me sortir de lĂ . J’arrive tout prĂšs de mon fusil et essaie de le reprendre. Je me pousse et finit par le recupĂ©rer. Me souvenant que j’ai encore mon zat, je le prends et tente de l’attaquer, tirant sur la alors qu’elle me rapproche d’elle. Ignorant ce qu’elle va faire, je peux sentir mon cƓur marteler mes cĂŽtes. Ma respiration s’accĂ©lĂšre et ma bouche s’assĂšche. Je tente de produire un peu de salive, essayant de me calmer et de me dire que je vais rĂ©ussir Ă  me sortir de lĂ . Le regard est rivĂ© sur Isia en face de moi. Le sien est brĂ»lant, joueur et
 violent pour le simple plaisir de l’ĂȘtre. Ouais, elle a le caractĂšre de la docteure, mais contrairement au morphĂ©a, elle a une certaine douceur qui n’est pas du tout prĂ©sente chez la crĂ©ature. Alors que je m’apprĂȘte Ă  pointer mon arme sur elle, je sens une pression au niveau de mon entrejambe, me coupant le souffle. OulĂ , faut pas frapper Ă  cet endroit ! Putain
 »Il y a un feu au niveau de ma cheville. Ouais, une belle grosse blessure Ă  cet endroit-lĂ . Je n’arrive pas Ă  me tenir sur elle. C’est trop douloureux. J’ignore si elle est brisĂ©e, j’espĂšre que non parce que j’en ai besoin pour me dĂ©placer. Elle me rapproche avec l’aide de ses tentacules et libĂšre mon entrejambe. Je peux sentir une violente douleur se propager Ă  travers mon corps. Le morphĂ©a m’embrasse sauvagement. Si ça avait Ă©tĂ© Isia, j’aurais apprĂ©ciĂ©, parce que bah c’est elle quoi, mais là
 beurk, c’est rĂ©pugnant ! J’ouvre grands les yeux de surprise et tente de la repousser. Ça va pas ?! T’es dĂ©gueulasse ! »C’est alors qu’une dĂ©tonation se fait entendre ainsi qu’une lumiĂšre aveuglante. Le morphĂ©a me lĂąche et je m’écrase au sol. Je tente de me relever, mais j’y arrive pas. Ma jambe fait trop mal. J’opte pour me coucher au sol, levant les mains vers mes oreilles pour tenter de les protĂ©ger du son assourdissant, fermant les yeux. Je peux entendre des coups de feu et je comprends que le morphĂ©a se met Ă  tirer Ă  l’ de ramper et de me reculer, mais quelque chose m’attrape et le fait Ă  ma place vers les arbres, me protĂ©geant des tirs de la crĂ©ature. Je me tourne et vois notre ami serliane. Merci, Emeryan. T’es un bon ami » dis-je, levant une main pour lui offrir une caresse en guise de loin, je vois Natasha tirant sur le morphĂ©a devant nous. Une des serlianes souffre. Un liquide blanc s’écoule d’un trou dans son corps. Je comprends immĂ©diatement qu’elle a protĂ©gĂ© la femme. Une autre personne que je ne connais pas s’avance et attaque la crĂ©ature avec l’aide d’une machette. À plusieurs, peut-ĂȘtre rĂ©ussirons-nous Ă  en venir Ă  bout de ce pouvant pas supporter mon poids, je m’appuis contre l’arbre et lĂšve mon fusil vers le morphĂ©a, fermant l’Ɠil droit pour bien viser l’endroit oĂč le cƓur doit ĂȘtre. Si elles en ont un. J’attends quelques secondes, m’assurant de l’avoir dans ma ligne de mire et appuis plusieurs fois sur la rĂ©pondit d’un petit sifflement cristallin Ă  Cody, se dĂ©roulant de son corps, pour rejoindre au plus vite les autres serlianes dressĂ©es. Il se leva au-dessus de Natasha, pour avoir une belle amplitude pour fondre au cas oĂč. Cela devait ĂȘtre impressionnant de voir une femme avec cinq serlianes sifflantes d’agressivitĂ©s. En tout cas, le tir de zat atteignit le morpha qui chancela, dans un mouvement saccadé  amplifiĂ© par le jet de machette qui lui perfora l’épaule
 ce fut moche Ă  voir
 du sang giclait de ces crĂ©ature s’écroula au sol
 elle semblait avoir mal, comme le tĂ©moignait son cri angoissant et dĂ©chirant. Mais elle se releva, difficilement le regard empli de haine vers cette jeune femme rousse qui allait ĂȘtre son nouveau jouet ! Elle retira la machette de son Ă©paule
 ce soir au menu, il aurait de la kinĂ© avec son soufflĂ© aux serlianes ! Tu vas chanter aussi aiguĂ« que tes plantes ! » dit-elle rageusement, la bouche en sang, pour se jeter sur la jeune femme
 Mais Emeryan fondit et s’enroula autour du morphĂ©a pour tenter de la mordre. Le combat de tentacule et de liane Ă©tait enclenchĂ© ! Les deux roulĂšrent sur le sol
 Et c’était le moment d’agir !Du cĂŽtĂ© de Cody, il pouvait sentir des gouttes de sang perler de l’arbre oĂč se trouvait plusieurs victimes, mais pour les atteindre et les voirent il fallait monter les 5 fois le choc de l’explosion de la grenade passĂ©, Karola se redressa en vitesse et constata qu’elle avait Ă©tĂ© suffisamment prĂ©cise pour que le morphĂ©a soit touchĂ©. C’était Ă©galement le cas de Cody, malheureusement mais cela ne devrait pas durer trĂšs longtemps. Elle s’élança vers sa cible en essayant d’éviter soigneusement les racines qui lui faisaient obstacle sur son chemin alors que la crĂ©ature rageait et Ă©mettaient des cris de douleur causĂ©s par l’attaque de Kalinda. Cody avait Ă©tĂ© mis Ă  l’abri par Emeryan aussi le champ Ă©tĂ© Ă  prĂ©sent libre pour rĂ©gler son compte au fallut un peu de temps Ă  Karola pour se sortir de sa zone de couverture, heureusement ses camarades n’avaient pas chĂŽmĂ© pour attaquer la crĂ©ature. MĂȘme Natasha, qu’elle pensait avoir Ă©tĂ© mise Ă  l’abri elle aussi, participa Ă  son affaiblissement. Elle attira par la mĂȘme occasion l’intention de la fausse Isia qui, de rage, la menaça. Kalinda et la kinĂ©sithĂ©rapeute ne l’avait pas loupĂ©e et elle Ă©tait sans doute en train d’accuser le coup de cette attaque surprise. C’était donc le moment ou jamais de continuer Ă  l’affaiblir pour l’empĂȘcher de se major se fit aussi discrĂšte que possible pour contourner la crĂ©ature qui Ă©tait focalisĂ©e sur Natasha, se rapprocha d’elle autant que possible tout en gardant un certain pĂ©rimĂštre de sĂ©curitĂ©. Elle eut tout le loisir d’apercevoir Emeryan venir au secours de Natasha qui s’apprĂȘtait Ă  se faire embrocher par un tentacule et les deux individus se lançÚrent dans une lutte acharnĂ©e. Cela n’allait pas faciliter les affaires de la militaire qui Ă©tait loin d’ĂȘtre une tireuse hors pair. Cependant, elle ne voyait pas meilleur moment pour rĂ©aliser une attaque combinĂ©e. Emeryan occupait le morphĂ©a et pouvait l’immobiliser. Aussi, quand la crĂ©ature se retrouva au sol, Karola se rapprocha un peu plus pour viser au mieux et Ă©viter de toucher la serliane et dĂ©cida de vider le chargeur de son P90 dans le tronc et la tĂȘte de la fausse instants aprĂšs qu’elle ait tirĂ©, une tignasse blonde dĂ©barqua et entreprit d’attaquer le morphea Ă  coup de machette. Natasha regarda la nouvelle arrivante avec des yeux ronds, avant d’apercevoir le major Frei un peu plus loin. Depuis quand Ă©taient-elles lĂ  ? En tout cas leur intervention Ă©tait providentielle et, bien qu’elle ne reconnaissait pas la blonde, elle devait lui reconnaĂźtre un sacrĂ© culot pour attaquer un ennemi aussi puissant Ă  l’arme blanche. C’était impressionnant Ă  voir. Le morphea avait Ă©tĂ© dĂ©stabilisĂ© mais il semblait toujours bien dĂ©cidĂ© Ă  lui tirer dessus. Son petit ange gardien vĂ©gĂ©tal en dĂ©cida toutefois autrement en bondissant pour planter ses crocs dans le monstre et s’en suivi une lutte entre les deux. Son zat devenu inutile, Natasha recula et parcourut trĂšs rapidement les lieux du regard pour faire le point sur les blessĂ©s. Cody s’était redressĂ© et ne semblait pas trop abimĂ© et le seconde classe Giroud Ă©tait Ă©talĂ© par terre et sa posture et l’état de sa tĂȘte donnaient une idĂ©e assez claire de son Ă©tat. Quelle horreur
 Le sergent Mancini, lui, Ă©tait Ă©talĂ© par terre non loin d’un arbre et il lui aurait Ă©tĂ© impossible de savoir s’il Ă©tait vivant ou victime la plus proche Ă©tait la serliane qui lui avait sauvĂ© la vie. La pauvre Ă©tait en trĂšs mauvais Ă©tat et cette vision lui fit mal au cƓur. La kinĂ© avait lu les rapports des chercheurs sur les serlianes, cela ne signifiait pas pour autant qu’elle allait ĂȘtre en mesure de lui venir en aide. La saisissant le plus dĂ©licatement possible tout en agissant dans la prĂ©cipitation, elle tira doucement l’animal derriĂšre l’arbre pour se mettre hors de portĂ©e du morphea. Natasha ne savait pas si la crĂ©ature la comprenait mais elle la savait rĂ©ceptive aux sons et il fallait absolument la calmer car elle ne pouvait se permettre d’écoper d’une morsure accidentelle. Elle lui murmura donc des paroles rĂ©confortantes pendant qu’elle examinait ses blessures. La balle l’avait traversĂ© et elle Ă©tait salement amochĂ©e. A dĂ©faut de mieux, Natasha sortit un tampon relais compressif et le fixa tant bien que mal sur l’animal. Les serlianes avaient une capacitĂ© de guĂ©rison hors norme mais elles n’en restaient pas moins des crĂ©atures mortelles. Rien ne permettait Ă  la rouquine d’affirmer que son geste avait Ă©tĂ© utile mais au moins elle avait tentĂ© quelque chose pour stopper l’hĂ©morragie. Des coups de feu raisonnĂšrent tout Ă  coup, faisant sursauter Natasha. Cette derniĂšre se mit Ă  espĂ©rer que c’était l’un de ses alliĂ©s qui avait fait feu et non le serliane blessĂ©e ne rĂ©agit pas au bruit, elle semblait trop mal en point. Natasha lui fit une derniĂšre caresse, mal Ă  l’aise Ă  l’idĂ©e de la laisser lĂ  toute seule, mais la situation l’exigeait. Elle lui chuchota qu’elle revenait bientĂŽt avant de se dĂ©placer pour risquer un coup d’Ɠil sur le combat qui faisait toujours rage. Ses alliĂ©s Ă©taient debouts et le major s’était rapprochĂ©e, les coups de feu devaient venir d’elle. RassurĂ©e, la rouquine partit en courant en direction du sergent Mancini et prit son pouls. Il Ă©tait vivant ! Surveillant du coin de l’Ɠil le combat en arriĂšre-plan, Natasha attrapa le sergent sous les Ă©paules en tentant de caler sa tĂȘte contre son torse et le tira derriĂšre l’arbre. DĂ©placer un blessĂ© Ă©tait contre-indiquĂ©, elle risquait de lui briser une vertĂšbre si ces derniĂšres Ă©taient fĂȘlĂ©es, mais elle avait jugĂ© que le risque d’une balle perdue Ă©tait plus important. La belle allongea la victime au sol et contrĂŽla Ă  nouveau sa respiration et son pouls avant de prendre sa Sergent vous m’entendez ? Serrez-moi la main si vous ĂȘtes incapable de parler. Il lui sembla que l’homme bougeait lĂ©gĂšrement mais il ne rĂ©pondit pas. Il devait ĂȘtre en train de reprendre doucement ses esprits. Sans le brusquer, Natasha palpa doucement sa tĂȘte et sa nuque et grimaça lĂ©gĂšrement en sentant les bosses sur son crĂąne. Aie, ça sentait la commotion cĂ©rĂ©brale ça. Au moins, la nuque ne semblait pas avoir pris de dĂ©gĂąts mais seule une radiographie pourrait confirmer cette Salut, lança Natasha avec douceur au soldat qui avait ouvert les yeux. Tout va bien, vous pouvez rester allongĂ© pendant que j’examine vos blessures. Emeryan, le major Frei et une autre super-soldate sont en train de mettre une raclĂ©e au morphea. Vous avez mal quelque part ? L’homme hocha la tĂȘte, lui montrant les cĂŽtes et la tĂȘte
 il avait la vision trouble. Et elle entreprit d’examiner et de bander les zones douloureuses, offrant des antalgiques au sergent s’il le souhaitait et faisant preuve de fermetĂ© pour l’empĂȘcher de bouger pour aller prĂȘter main forte aux autres. Quelques cĂŽtes cassĂ©es, une commotion, il s’en tirait plutĂŽt bien par rapport Ă  Giroud
 il faudrait qu’elle vĂ©rifie son pouls mais elle ne se faisait guĂšre d’illusion Ă  son Kalinda avait vu juste et que son coup avec la machette semblait avoir amplifiĂ© les dĂ©gĂąts, ce ne fut pas suffisant pour l'achever. La crĂ©ature semblait souffrir mais elle se redressa et enleva rapidement la machette. Elle Ă©tait bien dĂ©cidĂ©e Ă  s'en prendre Ă  la jeune femme rousse. Emeryan, la serliane, s'attaqua alors au monstre. AprĂšs quelques instants de lutte pendant lesquels Kalinda eut peur pour la serliane, il l'immobilisa au sol. Karola prit alors le relais et entreprit de vider son chargeur dans la tĂȘte et le corps du MorphĂ©a. Il y avait du sang de partout, c'Ă©tait un carnage. Kalinda espĂ©ra que ce fut suffisant mais par mesure de prĂ©caution, elle se rapprocha prudemment elle-aussi, se souvenant de ce qu'il s'Ă©tait passĂ© avec le premier MorphĂ©a et sa tentative pour lui aspirer de la vie. Elle planta sa deuxiĂšme machette aussi profondĂ©ment qu'elle le put Ă  travers le corps du MorphĂ©a, visant toujours l'endroit oĂč elle pensait que son coeur devait ĂȘtre. AprĂšs tout, s'il prenait l'apparence d'humain, peut-ĂȘtre que son coeur prenait aussi la mĂȘme place que le coeur humain ? ça, elle ne pouvait pas le savoir mais ça lui semblait l'idĂ©e la plus judicieuse. La jeune femme se recula, le MorphĂ©a semblait vraiment mal en point. Il Ă©tait toujours tenu fermement par la serliane. Kalinda ramassa sa premiĂšre machette au sol et la raccrocha dans son dos. Pensant que son compte Ă©tait bon, elle regarda autour d'elle. La jeune femme rousse avait mis Ă  l'abri un des deux militaires et la jeune pĂ©gasienne dĂ©cida d'aller voir dans quel Ă©tat se trouvait l'homme qui avait Ă©tĂ© malmenĂ© par le MorphĂ©a quelques minutes auparavant. En quelques secondes, elle arriva Ă  sa hauteur et lui demanda "Est-ce que ça va ? Vous pouvez marcher ? "Il ne valait mieux pas traĂźner dans les parages. Elle avait conscience que la forĂȘt pouvait rĂ©vĂ©ler de mauvaises surprises. Kalinda avisa les gouttes de sang autour de lui. Elle fronça les sourcils. Il ne fallu que quelques secondes Ă  la jeune pĂ©gasienne pour constater que les gouttes de sang tombaient de l'arbre. Elle leva les yeux au ciel mais ne vit rien. Toutefois, la curiositĂ© l'emporta. "Je vais voir ce qu'il se passe lĂ -haut."La jeune femme avait toujours sa machette dans le dos, prĂȘte Ă  la sortir si besoin. Elle entreprit alors de grimper Ă  l'arbre. Elle Ă©tait Ă  l'aise dans ce milieu sauvage. Grimper aux arbres, elle l'avait fait durant toute son enfance et cela faisait partie des choses qui ne s'oublient pas. Puis, elle Ă©tait mince et agile, ça aidait pas Ă  tenir sur mes pieds. Ma cheville m’élance et me brĂ»le. Je reste tout prĂšs de l’arbre pour supporter mon poids. Tous pleins de choses se passent autour de moi. En avant, il y a Karola, une femme blonde, Isia morphĂ©a ainsi qu’Emeryan tentant de mettre hors d’état de nuire le monstre. Au sol, il y a le sergent. Il semble ĂȘtre dans les vapes totales. Je tente de me pencher et de le reculer pour le mettre Ă  l’abri sauf que je n’arrive pas Ă  tenir sur ma jambe. Je ne veux pas non plus le dĂ©placer et risquer de le blesser encore plus. À la place, je vĂ©rifie son pouls pour m’assurer qu’il est encore lĂšve les yeux et continue de tirer sur la crĂ©ature en face de nous, m’assurant de ne pas toucher nos alliĂ©s. Ce serait bĂȘte de tirer et de les blesser. Karola vide son chargeur sur la crĂ©ature et je fais de mĂȘme, faisant de mon mieux pour viser les endroits qui doivent ĂȘtre les organes vitaux. La femme blonde utilise une machette et dĂ©coupe le monstre en dĂ©s. Ils sont coriaces les morphĂ©as ! Si on s’acharne Ă  plusieurs sur lui il va bien finir par mourir une bonne fois pour alors que je vois la femme blonde s’approcher de moi et me demander si j’arrive Ă  marcher. Je recharge mon fusil et lĂšve les yeux vers elle, restant tout de mĂȘme un peu sur mes gardes, car je ne la connais pas. Si Karola est venue avec elle jusqu’ici, cela veut sans aucun doute dire qu’elle lui fait confiance. La major sait mener Ă  bien des opĂ©rations. Elle sait choisir les personnes qui peuvent l’accompagner. Encore lĂ , aujourd’hui nous avons Ă©tĂ© dupĂ©s par des morphĂ©as. Non, pas du tout. Je crois que j’ai quelque chose de brisĂ©. Merci de le demander. »J’apprĂ©cie qu’elle me le demande, vraiment. C’est probablement la seule blessure grave que j’ai, mis Ă  part les Ă©gratignures et les coups de rochers et autres objets qui se sont trouvĂ©s sur mon chemin quand Isia s’en est pris Ă  moi. Je vois une goutte rouge perler sur ma main et comprend qu’elle vient de l’arbre. Je lĂšve les yeux et suis le regard de la jeune femme. Nope, rien. Mais pourtant, il doit sĂ»rement y avoir quelque chose lĂ -haut. D’accord. Je suis lĂ  en cas de besoin. Je vais faire mon possible »Non loin de moi il y a Natasha avec le sergent. Le sergent va bien ? » demandĂ©-je. Y a-t-il quelque chose que je puisse faire ? »Zelda est Ă©tendue au sol tout prĂšs de l’arbre. J’essaie d’aller la rejoindre et vĂ©rifier qu’elle va bien. Un pouls. Il y en a un. J’ai eu peur pendant une seconde. C’est mon amie, je ne peux pas la laisser. A2. Les poissons Les poissons vivent dans l'eau. Ils sont ovipares : les bĂ©bĂ©s naissent dans des Ɠufs. Ils ne peuvent pas respirer Ă  l'air libre et ils n'ont pas de poumons. Ils respirent par des branchies. Les poissons n’ont pas de patte : ils ont des _____. Sur leur peau il y a :
courscm bio 301 betoulle poissons généralités sur les crùniates et vertébrés apparition crùne (crùniates) soutenant et protégeant les organes de et de la . Se connecter S'inscrire. Se connecter S'inscrire. Accueil. Ma Librairie. MatiÚres. Tu n'as pas encore de cours. Livres. Tu n'as pas encore the livres. Studylists. Tu n'as pas encore de Studylists. Documents Récents. Tu n'as pas
LesrĂ©ponses. VRAI : On vient de trouver un fossile de CƓlacanthe Ă  2900 m d’altitude en Suisse. Plus de dĂ©tails ici, sur le Dinoblog. Macropinna microstoma. Cliquez pour la video. VRAI : Macropinna microstoma est un poisson des profondeurs dont les Ă©normes yeux regardent Ă  travers le crĂąne. Poisson d’Avril ! le lĂ©pisme, ou
Ilsse cachent dans des abris provisoires, pour mieux attendre l’arrivĂ©e de leurs proies,leur sauter dessus, (et probablement les vider de leur sang et accessoirement de leur Ăąme). La mĂąchoire gigantesque du Neoclinus Blanchardi a le don de s’élargir comme celle d’un serpent, pour s'adapter Ă  la forme de ses proies nm(zoologie) poisson d'eau douce Ă  barbillons. poisson-chien , hydrocyon. nm (zoologie) poisson de l'ordre des characidĂ©s, de la famille des umbridĂ©s. poisson-coffre. nm (zoologie) poisson de l'ordre des plectognathes. poisson-Ă©pĂ©e , espadon. nm (zoologie) poisson marin Ă  la mĂąchoire supĂ©rieure allongĂ©e en forme d'Ă©pĂ©e, de l'ordre
Concernantles poissons tropicaux d'eau de mer, ceux-ci ont besoin d'une eau d'une salinité d'environ 35 gr/litre, idéalement un ph de 8.2 et un taux de calcium de 400 mg/l et de magnésium de 1400 mg/l (surtout en récifal) la plus propre possible (pauvre en phosphates et nitrates etc) et à 25°C sans trop de variations.
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