Bonjourmon employeur m'a demandé de rester chez moi car il n'a pas de travail à me donner et m'a imposé dix jour des congés payé1 "Bonjour, Nous vous remercions pour votre question. Un employeur peut imposer des [congés payés](1" - Réponses d'avocats sur ekie
Tout d'abord, merci encore une fois pour le temps consacré à me lire et à me répondre, Crystal. Je viens d'aller sur le site que tu m'as indiqué à Marseille et j'ai pu y lire quelques témoignages et voir la façon de procéder des harceleurs. Mon employeur n'a pas de paroles blessantes à mon égard, si je suis plus renfermée, il fait au contraire des efforts considérables pour dialoguer ; il ne m'humilie pas en dévalorisant tout ce que je fais bien qu'il ne me valorise plus, d'ailleurs, quand je pense qu'il fait une "boulette" par manque de temps, je le lui fais savoir, ce qui n'est guère coutumier pour une secrétaire. Bref, je dis ce que j'ai à dire et même si on ne me le demande pas, je fais savoir que je n'approuve pas le mode de gestion j'ai en plus misère, le sens de la déontologie et une capacité à l'empathie, heureusement ou malheureusement. Je crois pouvoir dire que mon franc parler l'incommode souvent, mais, je crois que, dans ce sens, je suis malgré tout, relativement respectée, car je suis une nana droite. Je n'ai pas connu de fois où il ne me parlait pas, quoique, dès que je parle d'augmentation, il a tout à coup... une visite urgente à faire à domicile !!! donc j'attends le moment favorable pour réitérer ma demande souvent au retour des congés, quand il est zen et qu'on a moins de boulot...et là, ça passe tout seul tu vois, je fais un peu de psycho...de base !!!!Sur un autre point, je n'ai jamais eu la moindre critique concernant mon physique, bien au contraire, c'est à croire que le vieux grigou est sacrément observateur vous avez un nouveau chemisier, vous n'avez pas maigri vous, vous avez de belles jambes, le rouge vous sied à merveille, etc.... Je n'ai pas le sentiment d'avoir subi des brimades et je n'ai jamais été menaçèe de licenciement pour tout te dire, je crois connaître très bien mon boulot, les personnalités des 2 toubibs, leurs point-forts, leurs faiblesses et donc je sais très bien gérer cette sauce, alors que ma collègue n'a toujours pas intégré un bon nombre de choses. Et ça aussi, ils le savent. Je crois que j'aime les gens, c'est pour ça que je fais ce métier, la paperasse ne m'intéresse pas plus que ça, mais je gère très bien tout ça. J'aime les gens, MAIS PAS POUR LE FRIC QU'ILS ME RAPPORTENT, contrairement à la plupart des médecins d'aujourd'hui ! Je suis persuadée d'être la seule à voir mon patron comme il est, je crois que je l'ai bien cerné, qu'il le sait et que ça l'emmerde. Parfois, il me dit "vous ne me connaissez pas", je crois qu'il voudrait que je le connaisse...autrement... Ceci étant, je reste vigilante, ne t'en fais pas et j'ai l'adresse de l'asso dans mes favoris. Pour l'inspection du travail, je m'y étais rendue une fois et j'avais été dépitée car en les écoutant, j'ai surtout eu le sentiment que les patrons avaient le droit de tout faire ou presque malgré les termes d'in contrat et que moi j'avais surtout le droit de fermer ma gueule, mais bon, je ne suis peut être pas tombée sur quelqu'un de compétent ou pas suffisamment au courant, simplement. En tous cas, merci de tes conseils et je te tiens, enfin, vous tiens au courant. Cordialement.

Enperiode d’essai mon employeur met fin a celle ci , et me dit que je peux rester chez moi pour les 15 jours du delais de prevenance et que je serais payes . mon salaire est un salaire variable : fixe , com perso, com magasin . lors de mon solde de - Posée par Benjamin

Le licenciement verbal, faute de motif consigné par écrit, est nécessairement sans cause réelle et sérieuse, sachant qu’il est impossible de le régulariser a posteriori. Juridiquement, les choses sont clairement posées par la chambre sociale de la Cour de cassation et ce, depuis de nombreuses années déjà. Mais force est de constater que dans les faits, l’appréhension des situations n’est pas aussi simple… Un employeur qui souhaite rompre le contrat de travail d’un de ses collaborateurs doit se conformer à une procédure bien particulière, édictée par le Code du Travail, et parfois même par des dispositions conventionnelles. Ainsi, celui-ci doit-il indiquer dans la lettre de licenciement les motifs du licenciement, conformément à l’article L. 1232-6 du Code du travail qui dispose Lorsque l’employeur décide de licencier un salarié, il lui notifie sa décision par lettre recommandée avec avis de réception. Cette lettre comporte l’énoncé du ou des motifs invoqués par l’employeur [...] ». La lettre de licenciement fixe, en effet, les limites du litige et c’est au regard des motifs énoncés dans la lettre que s’apprécie le bien-fondé de la mesure Cass. Soc., 4 juill. 2012, pourvoi n° Ainsi, le défaut total d’énonciation des motifs ou l’imprécision des motifs invoqués équivaut à une absence de motif de licenciement Cass. Soc., 29 nov. 1990, pourvoi n° Ces dernières jurisprudences doivent toutefois être regardées aujourd’hui à la lumière des ordonnances Macron et de ses décrets d’application puisqu’en effet, le décret n° 2017-1702 du 15 décembre 2017 relatif à la procédure de précision des motifs énoncés dans la lettre de licenciement a modifié les articles L. 1232-13 et R. 1233-2-2 du Code du travail. Désormais, dans les 15 jours suivant la notification du licenciement, le salarié peut, par lettre recommandée avec avis de réception ou remise contre récépissé, demander à l’employeur des précisions sur les motifs énoncés dans la lettre de licenciement. L’employeur dispose alors d’un délai de quinze jours après la réception de la demande du salarié pour apporter des précisions s’il le souhaite. Cette possibilité est également ouverte à l’employeur qui peut, dans un délai de quinze jours suivant la notification du licenciement et selon les mêmes formes que celles prescrites pour le salarié, à son initiative, préciser les motifs du licenciement. Cette possibilité est ouverte pour compenser une insuffisance de motivation initiale, mais elle ne permet pas de compléter la motivation initiale. L’employeur ne pourra donc pas invoquer d’autres motif que ceux déjà mentionnés dans la lettre. Mais que se passe-t-il si le licenciement d’un salarié est prononcé oralement ? Le licenciement verbal, faute de motif consigné par écrit, est nécessairement sans cause réelle et sérieuse Cass. Soc., 23 juin 1998, pourvoi n° sachant qu’il est impossible de le régulariser a posteriori Cass. Soc., 6 mars 2002, pourvoi n° ; Cass. Soc., 12 nov. 2002, pourvoi n° ; Cass. Soc., 9 mars 2011, pourvoi n° Juridiquement, les choses sont clairement posées par la chambre sociale de la Cour de cassation. Mais force est de constater que dans les faits, l’appréhension des situations n’est pas aussi simple… Un premier exemple nous est offert par la cour d’appel d’Orléans, dans une décision en date du 16 mai 2017 15/02759. Dans cette affaire, un différend est né entre un salarié et sa direction à propos d’une demande d’absence. En effet, le salarié se refusera de se rendre à une foire exposition de sorte que la direction lui demandera de rentrer chez lui quand il se présentera à l’entreprise le matin même de l’exposition. Pour le salarié, aucun doute il a fait l’objet d’un licenciement oral dans la mesure où le représentant de la direction lui a demandé de rentrer chez lui ce qui s’analysait comme un licenciement verbal que toute régularisation ultérieure ne pouvait abolir. Si un avertissement lui a été adressé le même jour, celui-ci ne remet pas, pour autant, en cause la mise à la porte dont il a fait l’objet. Non !...lui rétorque la cour d’appel il a été demandé au salarié de rentrer chez lui, non pour un licenciement oral, mais par ce qu’il ne s’était pas rendu au salon comme il lui avait été demandé. Pour les juges, cette décision a été prise en raison du pouvoir de direction de l’employeur sans qu’il ne puisse être invoqué par le salarié un licenciement oral et ce, en raison de l’avertissement dont avait fait l’objet ce dernier. Selon eux, cet avertissement signifiait qu’il ne s’agissait pas, dans l’esprit de l’employeur, en renvoyant le salarié chez lui, de sa volonté de l’évincer de l’entreprise. Nouvel exemple offert cette fois-ci par la cour d’appel de Rennes dans une décisions du 27 février 2015 13/02590. Dans cette affaire, une société motivait le licenciement d’un salarié par son abandon de poste et considérait qu’il constituait une faute grave. De son côté, le salarié invoquait un licenciement oral antérieur. Le salarié ne s’était, en effet, un jour où il aurait dû embaucher, pas présenté à son travail, ce qu’il avait expliqué par le fait qu’il ne s’était pas réveillé. S’étant présenté le lendemain, son employeur l’avait accueilli sur un ton agressif et l’avait renvoyé chez lui, ce qui lui avait fait penser qu’il le licenciait. Ce d’autant plus qu’il se présentait à nouveau le surlendemain, mais en retard en raison de sa visite préalable à l’inspection du travail et n’avait pas été admis non plus à travailler par l’employeur. Tout semble indiquer que le salarié avait été licencié verbalement sauf que la cour d’appel de Rennes n’a pas retenu une telle analyse selon les juges, un courrier de l’employeur contredisait la réalité d’un licenciement, dès lors qu’il était demandé au salarié de justifier de ses absences. Conclusion si la jurisprudence de la Cour de cassation est constante sur l’interdiction absolue du recours au licenciement oral et sur ses conséquences pour l’employeur, il apparaît que dans les faits, les situations sont plus difficilement appréhendables et relèvent d’une analyse au cas par cas… Si la décision de la cour d’appel de Rennes nous semble contestable sur sa motivation, un seul conseil reste toutefois à donner aux différents chefs d’entreprise même face à une situation délicate, faites très attention à ce que vous dîtes à vos salariés de façon à ce qu’une invitation faite à rentrer chez eux ne viennent pas à s’analyser en un licenciement sans cause réelle et sérieuse
Monpatron souhaite vendre une partie de sa clientèle pour garder seulement le second cabinet qui l a acheté il y a un an. Il va vendre le reste de sa clientèle a un autre expert comptable Il me propose ou de me vendre a l autre cabinet ou de me faire rupture conventionnelle ou de me faire un licenciement économique.
Je viens d’avoir une retention de permis de conduire en conduisant mon vehicule personnel, etant chauffeur livreur en cdi mon employeur m’a dit par sms, un apres midi alors que j’etais au travail, de rester chez moi les jours suivants. Je peux tout a fait me rendre sur mon lieu de travail, et travailler en doublon avec un collegue, ce que je fais depuis plusieurs mois car mon role est de remplacer mes collegues s’ils sont amenés a etre absents. Mon employeur a t il le droit de me demander de rester chez moi? Merci d’avance pour votre reponse. Posté Il y a 2 ans Réponses 1 Bonjour, Votre permis étant nécessaire pour l’exécution de votre travail, vous ne pouviez pas l’exécuter pendant la rétention de votre permis. Vérifiez les clauses de votre contrat de travail, il existe peut être une clause sur la rétention du permis et les conséquences. Mais si votre travail consiste uniquement à la conduite, votre employeur pouvait vous demander de rester chez vous pendant la rétention. J’espère vous avoir aidé et n’hésitez pas à nous recontacter si vous avez d’autres questions ! a répondu Il y a 2 ans Monemployeur me demande de rester chez moi mais ne veux pas me payer. Je suis en cdi depuis plus de 5 ans , il y'a 3 mois j'ai demandé a mon chef un changement de site a compter du 5 septembre pour raison familiale. En effet mes horaires etaient de 6h a 8h45 mais a compter du mois de septembre je n'ai plus personne ppur garder ma fille de 8 Bonjour Indiy1833,Le topic suivant devrait vous aider Coronavirus personne à risque et arrêt de travail en ligneIl se peut que votre situation ne soit pas évoquée dans le topic en question. Aussi, n'hésitez pas à consulter régulièrement ce lien ainsi que la page d'accueil de notre forum. Au vu de la situation actuelle, les informations contenues dans ce topic sont amenées à évoluer. Nous mettons tout en œuvre pour effectuer des mises à jour quand cela est vous n'êtes dans aucune des situations évoquées et que la cessation d'activité est à la demande de votre employeur, vous devez bénéficier du chômage partiel. Je vous invite à faire un point avec ce tout élément complémentaire, vous pouvez consulter cet article de notre site "Coronavirus Covid-19 où trouver des informations ?"Je vous souhaite une bonne journée.
monemployeur me dit de ne pas venir travailler. by on March 4, 2022
Oui, mais pas sans autorisation. Votre domiciliation ne vous protège pas contre une expulsion. Pour vous expulser, votre compagnon doit avoir un titre exécutoire jugement du juge de paix. La domiciliation et l’occupation d’un logement sont 2 choses différentes. Le fait d’être domicilié à un endroit ne vous donne pas le droit de l’occuper. La domiciliation est une notion administrative. Elle a pour but de localiser chaque citoyen. Elle ne représente pas un titre juridique qu'il faut respecter. Par exemple, un partenaire qui se domicilie chez l’autre n’est pas titulaire du contrat de bail s’il ne l’a pas signé. Il est considéré comme un occupant sans titre ni droit et peut être expulsé avec l’autorisation du juge, même s'il y est domicilié. Et ce, même si le concubin a des enfants communs avec le propriétaire/locataire du bien. Dans ce cas de figure, il est important de se rendre chez le juge pour organiser l’hébergement des enfants. Si vous êtes également locataire ou propriétaire du logement, le juge n’autorisera pas nécessairement votre expulsion. Il pourra éventuellement décider que c'est vous qui pourrez occuper le logement. Notez que si vous êtes cohabitant légal ou marié, vous êtes mieux protégé. Voyez les questions associées. Pour expulser quelqu'un, il faut toujours obtenir l’autorisation d’un juge ou un autre titre exécutoire. Pour plus d’informations, voyez la rubrique l’expulsion’.
Dansle contexte actuel, les activités à domicile peuvent se poursuivre avec le respect des gestes barrières et des bonnes pratiques de prévention.Retrouvez-les dans le guide des « Bonnes pratiques et précautions à connaitre » .Leur maintien est d’autant plus important s’agissant de l’aide aux personnes fragiles et en situation de handicap et de la garde d’enfants. Quatre jours en moyenne séparent les tests de dépistage de la Covid-19 de leurs résultats. En attendant, il est demandé de rester chez soi. Mais la CPS ne vous couvre pas. Par Damien Grivois Publié le 18 Août 20 à 1057 Les employés se faisant tester n’ont pas l’obligation de le signaler à leur employeur. ©Nicolas AubouinL’ absence d’indemnisation n’incite pas les travailleurs à cesser le travail en attendant le résultat d’un test Covid. Au risque de continuer à travailler tout en étant une source potentielle de contamination. J’ai été au contact, lors d’un anniversaire, d’une personne qui elle-même avait côtoyé l’un des convives de la soirée au Piment rouge. Donc ce matin, je me fais tester à mon tour… »Le cas de Jérémy, kiné à son compte, n’est pas isolé. Dès qu’il s’est su potentiellement contaminé, il a stoppé son activité. J’aurais pu avoir une continuité dans les soins mais je n’ai pas trouvé de remplaçants, certains étant dans la même situation que moi. » Ses patients ont bien compris » sa décision. Si son résultat est positif, il devra rester confiné encore une dizaine de jours. À nouveau une perte financière. À ma connaissance, je n’ai pas obligation de ne plus voir mes patients. Mais il s’agit souvent de personnes fragiles, il est préférable d’éviter tout contact par principe de précaution », explique Jérémy. C’est une question de sens des responsabilités, mais ça mériterait quand même d’être clarifié… »Ce vide juridique autour des personnes potentiellement contaminantes, mais pas considérées pour autant comme malades, inquiète également Timeri, professeure de lycée. Le bureau de veille sanitaire m’a demandé de venir me faire tester, mais aussi de rester chez moi jusqu’au 19 août » explique-t-elle. J’ai envoyé mon attestation d’isolement à mon proviseur, donc pas un arrêt maladie. Je ne sais pas du tout si je serai payée ou pas. J’espère bien sûr recevoir mon traitement habituel. »Vidéos en ce moment sur Actu Étant libéral en chirurgie dentaire, je ne vais pas travailler pendant quatre jours, et c’est une perte sèche pour moi, je n’ai pas pu trouver de remplaçant au pied levé », relate, de son côté, Abel. Sens des responsabilités » La majorité essaie d’avoir des indemnisations. Il y a beaucoup plus de mutuelles dans l’Hexagone au niveau des dentistes, donc chacun essaie de batailler au niveau de son assurance privée. »Abel considère toutefois que cette situation est un frein aux comportements vertueux. Certains vont penser “pas vu, pas pris” et iront travailler quand même, au risque de contaminer des collègues », regrette le taote niho. Si la CPS garantissait un minimum à tous ceux qui cessent leur activité, à la limite tout le monde jouerait le jeu. »Charles, responsable des ressources humaines dans une société privée, explique que la réglementation métropolitaine ne s’applique pas en Polynésie, aucun texte local ne prévoyant ce cas de figure. Cela relève du secret médical, l’employé n’est pas tenu d’informer son employeur d’un test Covid », souligne-t-il. À mon sens, l’employé qui soupçonne d’être infecté se doit de rester chez lui. Il a toujours la possibilité d’avoir un arrêt de travail. Tout dépend du médecin qui comprend ou pas la situation, quitte à décider, en cas de test négatif, d’une reprise anticipée. Pour moi, ce ne serait pas un arrêt maladie de complaisance. C’est une manière de faire du préventif dans le contexte Covid. » Tous les professionnels joints par téléphone ont préféré s’exprimer de manière anonyme. Les prénoms employés sont fictifs. Frédéric Dock, président du Medef Polynésie Oui au dispositif d’activité partielle » Frédéric Dock ©DR/LDT Pour les petites structures de moins de dix employés, l’État a mis en place le Fonds de soutien aux entreprises, toujours valable, pour lequel il a dépensé ici presque 3,5 milliards de francs. Cela consistait précisément à apporter une aide quand les professionnels ne pouvaient pas réaliser leur chiffre d’affaires en raison d’un empêchement administratif. Se pose le problème des structures plus importantes. Le salarié est-il incité à déclarer lui-même sa situation ? L’employeur n’est pas censé savoir s’il a un test Covid en cours… La simple contamination n’est pas reconnue comme une maladie en Polynésie. Tant que l’employé n’est pas malade, l’employeur ne peut qu’imposer de manière stricte la mise en œuvre des mesures barrières. Dans l’attente d’un résultat de test, il ne peut que l’autoriser à prendre des congés, ou des congés sans solde s’il n’a plus de crédit. Il n’a pas de solution financière. La CPS est là pour le risque maladie. Or ce scénario relève de la prévention. Le Medef défend depuis le début le dispositif de l’activité partielle que l’État finance à 2/3 en métropole et dans les départements d’outre-mer. Ce dispositif national a permis aux salariés métropolitains en réduction ou en arrêt total d’activité de maintenir une rémunération de 84 % du salaire net plafonné à 4,5 x le SMIC. Contraint par les restrictions budgétaires du Pays, c’est bien plus que ce que permet la CSE ou le DIESE, qui ne permettent pas d’aller jusqu’à zéro activité, et qui n’assurent pas de rémunération minimum à cette hauteur. Il est indispensable que le Pays se prononce de toute urgence sur sa stratégie sanitaire car la fermeture progressive de chaque établissement reviendra à une fermeture totale. » Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre La Dépêche de Tahiti dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
Estce que mon employeur peut m'obliger à rester travailler à l'agence de PARIS en me laissant payer de ma poche mon logement et mes allers/retours vers mon domicile ou bien puis-je rentrer chez moi pendant mon inter contrat? D'autre part mon employeur me dit que les déplacements à PARIS pour faire le point avec les ingénieurs d'affaires
Question en attente de réponse La dernière mise à jour des informations contenues dans la réponse à cette question a plus de 5 mois. le généraliste refuse de me voir à cause de mon confinement, donc je n'ai pas d'arrêt de travail d'un médecin pour mon employeur , comment faire ? cinephase cinephase Niveau 0 1 / 100 point 1 question posée 0 réponse publiée 0 meilleure réponse Les meilleures réponses sont les réponses certifiées par un expert ameli ou approuvées par l'auteur de la question. Inscrite le 17/03/2020 Voir le profil Réponses Anne Anne Niveau 4 5000 / 5000 points Equipe 1236 réponses publiées Jeune maman. Adepte de running. Ne compte plus les années depuis qu’elle a 25 ans.... Voir le profil 3fKk.
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